▪ know your eyes in the morning sun.

grayer, leo.
23 Y.O ◩ BUFFALO (NEW YORK) ◩ IN A RELATIONSHIP
(only miss the sun when it starts to snow)

PRENOM(S): On la connaît sous le surnom coutumier de Leo, un diminutif qui a toujours bien plu à ses proches : famille comme amis d'ailleurs. Pour autant, sur son acte de naissance vous verrez apparaître son prénom usuel dans son intégralité à savoir Eléonore. Des échos français qui rythment les aventures littéraires d'une mère écrivain. Son deuxième prénom - Olivia - en revanche relève d'une tradition commune dans la famille, comme quoi on ne change pas les vieilles habitudes. NOM: Dans le milieu des affaires, on connaît plutôt bien ce nom de famille. En ce qui concerne la branche de son père c'est surtout au sein du domaine informatique et graphique que l'on reconnaît les valeurs et le potentiel. Grayer, patronyme qu'elle doit à son père comme ce dernier avant elle. Un nom comme un autre, du moins c'est toujours comme cela qu'elle l'a vu. DATE DE NAISSANCE: Native de la région, c'est à la fin du dernier mois de l'année que la jeune femme à vue le jour. Un certain trente-et-un décembre, jour de résolution que l'on ne tient jamais par ailleurs. A vingt-trois années d'existence on lui fait toujours le coup de la surnommer Sylvestre, par vraiment ce qu'elle apprécie le plus même pour un mot doux. ORIENTATION SEXUELLE: Désolée pour les demoiselles - en détresse -  mais Leo a toujours eu une préférence certaine pour la gent masculine quand bien même elle reste très ouvert d'esprit. SITUATION FAMILIALE: La famille à l'image d'un jeu de cartes, des cartes toutes différentes mais liées les unes aux autres. Issue de parents divorcés alors qu'elle entrait dans les heures de l'adolescence, ces derniers ont malgré tout conservés un très bon contact. Enfant du milieu de sa fratrie, une place de laquelle elle n' a jamais eu à se plaindre. Actuellement en couple avec Roy depuis presque une année, leur lien est quelque peu fragilisé autant que compliqué par des éclats de fierté.  ORIGINES: Des souches américaines que la branche paternelle ne saurait démentir ainsi que des origines écossaises que sa mère a toujours su mettre en avant par un accent quelque peu prononcé. PROFESSION/ETUDES: Un cursus universitaire basé sur l'art graphique et divers options incontournables, sans omettre des stages qu'elle a effectuer dans d'autres entreprises bien loin du regard familial. Pour elle, hors de question d'être favorisé le temps de ses études et de la validation de son diplôme. Chose fait et désormais elle travaille au sein de l'entreprise de son père à l'image de son frère en tant qu'assistante artistique. TRAITS DE CARACTERE: Honnête, téméraire, déterminée, généreuse, à l'écoute, optimiste, calme, énergique, garçon manqué, fidèle, authentique, naturelle, rancunière (...). AVATAR: Sophie Cookson. GROUPE: Sky.

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hello, hello.:

Il y des moments qu'on ne saurait oublier. Des instants si précieux qu'il respire au travers de la simplicité qu'est la vie. Des passages de chacun instants qui font les petits bonheurs de tous les moments. Il y a des sourires que l'on ne peut ignorer. Des rires si teintés de vivacité et de sincérité qu'ils forgent les sécurités de demain. Des éclats de rires qui balayent les tracas de l'existence quotidienne. Cette mélodie, tu pouvais l'entendre dans le rire du petit garçon débout juste à coté de toi. Il était monté sur un tabouret pour être pile poils à la bonne hauteur du lavabo. Détenteur des dents du bonheur – tout comme toi  à son âge –, il se brossait les dents tout en jetant une œillade rieuse alors que tu l'imitais également. TJ était est un enfant communicatif et tendre, mature du haut de ses cinq ans et calme. Vos deux tempéraments ouverts c'étaient trouvés aussi naturellement qu'une fleur cueille les rayons du soleil pour s'épanouir. Depuis presque une année, il faisait parti de ta vie et pour cela tu ne changerais jamais rien. Tu rinces ta brosse à dent, laissant le soin à TJ de faire de même alors que tu vas chercher l'appareil photo numérique posait sur le meuble dans le couloir. Le garçonnet se retourne en souriant avant de faire petite grimace juste à temps pour prendre le photo. Il rigole de toutes ses dents avant de venir à ta rencontre. Tu le prends dans tes bras, alors que ses mains prennent l'appareil pour faire défiler le panel des clichés photographiques. Ses yeux ne quittent pas l'écran de l'appareil comme pour prendre les marques des souvenirs de peur de les oublier. En entrant dans la chambre de TJ, tu prends notes que dès demain il faudra ranger tout cela, l'heure est bien trop tardive pour y songer. « Leo ? ». Tu baisses légèrement la tête pour que vos regards se croisent assez pour l'encourager à poursuivre. Tout en le déposant sur le lit, tu t'assois au bord de ce dernier tandis que TJ attrape son nounours. « Tu resteras toujours avec nous ? Tu ne partiras pas, hein ? ». Ses questions déclinent une inquiétude à laquelle on ne peut rester insensible et stoïque. Sa voix enfantine vogue entre une maturité emplit de responsabilité et d'insécurités. Rapidement, tu avais noué des liens très complices et chaleureux avec le fils de Roy. Il était devenu aussi important qu'un membre de ta famille, un peu comme le petit frère que tu n'avais jamais eu. Une lueur fragile mais forte à la fois, un rayon de soleil qui devrait encore briller. Tu sais combien son père bossait très dur pour subvenir à ses besoins, lui procurer les meilleurs des traitements qui s'avérait onéreux. Il se donnait à cent pour cent pour son enfant, des heures qu'il passait au bureau sans jamais s'arrêter encore et encore. Des heures à se plier en quatre, du temps qu'il ne passait pas auprès de son fils. Il le ressentait de manière bien différente de TJ, mais père et fils en souffraient chacun à leur manière. A mainte reprise, tu avais tenté de l'aider de façon implicite afin de ne pas froisser sa fierté, tu connaissais assez Roy pour savoir qu'il prendrait la mouche. D'ordinaire cela fonctionnait, mais votre dernière conversation l'autre avait tourné au vinaigre. Monsieur était blessé dans son égo et tu étais partie en lui tenant tête. Il était embrumé dans son idée de base, ne prenant guère en compte la véracité de tes arguments. Une situation que tu avais conservé pour toi. Inutile d'en parler à ton frère, Don aurait tout de suite le réflexe d'être encore plus sur ses gardes et son coté protecteur en ressortirait davantage. TJ s'installe dans son lit, la tête sur l'oreille alors que tu montes les couvertures pour le couvrir. « Tu t'inquiètes pour quelque chose qui n'est pas près d'arriver, mon grand. ». Dis-tu sincèrement tout en le considérant d'un sourire qui traduit tout l'affection que tu lui portes. Doucement, tu passes une main dans sa tignasse en bataille déclenchant un sourire de sa part. Tu le soupçonnais d'avoir surpris votre discussion avec Roy. Finalement, après une histoire rythmé par les aventures d'un pirate, tu avais finis par t'endormir au coté de TJ  s'en même t'en rendre compte. Une main chaude te caresse le visage, un contact coutumier que tu reconnais les yeux fermés. « Leo …aller vient, tu vas finir courbaturé si tu dors ici toute la nuit. ». Un murmure chuchoté, un brin amusé afin de ne pas réveiller le petit. Tu marmonnes quelques mots avant de te lever, la main de Roy trouvant la tienne. Il commence à t’emmener à sa suite en direction de la chambre mais tu t'arrêtes. Le regard du jeune homme t'observe en silence avant de froncer les sourcils interrogateur. « Il est trois heure du matin, Leo … tu ne vas pas renter chez toi il est trop tard ... ». Il était rentré tard une fois de plus. Tu passes une main sur ton visage avant de la passer dans tes cheveux. Il avait raison, tu étais fatigué par le boulot mais pas autant que lui cependant. Tu n'étais pas en état de conduire ta voiture sous peine de t'endormir au volant. « Je me suis occupé de TJ , tu es là donc tu peux prendre le relais. Tu campes sur tes positions c'est ... ». Il te coupe la parole en posant ses lèvres sur les tiennes coupant court à ta phrase. Il pensait parvenir à faire reculer la conversation, mais vous devrez tous les deux avoir une sérieux conversation.