je l'imagine tonkinoise, avec des yeux turquoise (pp)

PRENOM(S): Penelope, un seul prénom, et ça lui a toujours suffi. Depuis l'enfance, et face à la prétention du dit prénom, c'est "Poppy". Une petite fleur, fraîche, sauvage - tout aussi prétentieux, en rétrospective. NOM: Pushkin. Fille d'un père russe et d'une mère argentine, c'est ce mélange de culture qui fait d'elle, paradoxalement, une new yorkaise vraie de vraie. DATE DE NAISSANCE: quatre août, la fournaise. ORIENTATION SEXUELLE: hétérosexuelle curieuse - elle aime les hommes de tout son être mais est admiratrice des courbes féminines. SITUATION FAMILIALE: papa et maman vivaient à Brooklyn, et tout allait bien. Puis Papa est devenu fuyant, menteur, irresponsable, agressif. Ou peut-être l'avait-il toujours été ? L'histoire ne le dit pas. Ce qu'on sait, cependant, c'est que Maman prit Poppy, sa dignité, et ficha le camp. Assez loin pour ne pas retomber sur lui, assez près pour qu'il ne le soupçonne pas. Maintenant, Poppy, elle les aime pas trop, les hommes. Surtout pas les séducteurs. Elle sait de quoi ils sont capables - elle sait qu'ils sont tous les mêmes. Vous dites daddy issues, elle dit vendetta. ORIGINES: du russe, elle ne connait que le mot "vodka". de sa madre l'argentine, elle connait la fougue, la langue, la beauté. PROFESSION/ETUDES: elle dessine. des princesses à l'encre de chine, des loups cosmiques. puisque c'est dur d'en vivre, elle imprime ses dessins sur des coussins, des bijoux, des cartes - et va les vendre là où elle le peut. des marchés de créateurs, des magasins de décorations, sur internet… parfois, elle se dit qu'elle devrait arrêter, aller mettre son CV dans un resto et se faire embaucher à la plonge. puis elle se souvient qu'elle a un rêve, et qu'elle est une tigresse. TRAITS DE CARACTERE: distraite, créative, battante, excessive, méfiante, indécise, illogique, cultivée, vive, entière, tête brûlée, caractérielle, instable. AVATAR: vanessa hudgens GROUPE: sky

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CARACTERE • Elle aime pas qu'on dise d'elle qu'elle est bordélique, Poppy, elle préfère le terme "fibre artistique". Elle est distraite, elle oublie tout, elle n'en vient jamais aux conclusions réalistes des situations et fait des montagnes des plus petites choses. Mais Poppy, c'est une loyauté acérée envers les gens qu'elle aime et un goût vorace pour la vie. Une ambition dans ses rêves qui est presque terre à terre. Elle ne fait pas facilement confiance aux hommes, car ils lui ont déjà trop prouvé qu'elle n'avait aucune raison de le faire. Mais les filles, c'est sa bataille, son idéologie. Elle n'a pas peur de grand chose, si ce n'est de ses propres contradictions – et on dit d'elle qu'elle ne sait jamais ce qu'elle veut. Elle passe du rire aux larmes, elle se déteste pour cela, mais il ne faut ni la chercher, ni la pousser à bout. Elle ressent tout trop fort, c'est pas sa faute. Elle aime les gens, elle aime les histoires, elle aime la culture. Elle aime, Poppy. Et pourtant, elle n'a jamais aimé.


TICS-TOCS • Poppy, c'est l'odeur des bougies parfumées. L'encre sur les doigts. Le "non merci, pas de bonbons pour moi" et le "oh allez si, juste un". Poppy c'est la colère franche, l'amour sans limite, la dévotion entière. C'est les lampes de sel, les sushis, les levers de soleil. Cette seconde de paix profonde quand tu conduis sous la pluie battante et que tu passes sous un pont. Les contes de fées. Les voix off dans les films. Les filles. Les playlists spotify, le thé glacé, le latte macchiato. Son meilleur ami. Le courage, celui qu'on trouve dans le désespoir et celui qu'on trouve dans le regard des autres. Les fous rires à 3h du matin. Sa mère. Les cheveux longs, un jour de vent, qui viennent se coller dans le baume à lèvre coco-karité. Le shampoing au henné. L'art. Les groupes indé. La Louisiane, le jazz. Les bijoux qui font du bruit. La décoration chaleureuse. Le rire des inconnus. Les petits restaurants découvertes. Le goût des devinettes. Les voyages. Les métaphores.  Le cynisme, causé par l'abandon d'un père et le fait qu'on ne lui ait jamais prouvé qu'elle avait tort. Les préjugés. L'odeur d'amande et de pomme de pin. Les larmes sous l'eyeliner. Les bagues colorées. Les sandales. Les cris stridents sous la chatouille. Un lancer de télécommande rageur et ratant volontairement la cible quand elle se dispute avec quelqu'un. L'amour des vieilles choses. La défense de sa génération. La conscience politique, l'activisme latent. Les dessins qui fourmillent dans ses doigts. Le bronze. Les épaules. La vie, quoi.

hello, hello.:

BIOGRAPHIE • un. Un vague cône, surmonté d'une déjà impressionnante masse de cheveux noirs. Les voisins, se sentant obligés, s'écrient "mooooh quel chou !". Ils ont toujours été hypocrites. Quand, quatre ans plus tard, Penelope vomira malheureusement sur leur paillassion, elle ne s'en voudra que peu. deux. Ça parle, cette chose là. Alors, d'accord, ça ne récite pas la déclaration des droits de l'homme – ça ne le fera jamais – mais ça parle. Et c'est déjà, tragiquement, une sale gamine qui sait ce qu'elle veut et qui a compris que les hommes, c'est faible. Ça cède toujours. Hein, Papa ? Et elle arrive, ma sucette ? trois. La maternelle, son empire. Elle a déjà Tim et Brooke, les jumeaux du bac à sable, en servage. quatre. L'année de "presque un petit frère". Maman est triste, alors elle abuse légèrement du gin tonic. Personne n'ose rien lui dire. cinq. Penelope découvre les crayons de couleur – elle ne les posera plus jamais. six. Première jupe plissée – les joies de l'école privée. sept. Première colle – les joies de l'école privée. huit. Papa l'inscrit au solfège, Maman l'inscrit au dessin. Ils n'arrivent plus à se mettre d'accord sur rien. neuf. Penelope reste éveillée, la nuit, au son des cris. Ça arrive de plus en plus souvent. Trop de mots qu'elle ne comprend pas. Mais elle a désormais une bonne idée du sens de "double jeu". dix. Un matin, Penelope s'est réveillée, et Maman avait fait des valises. Quand elle a quitté la maison, la main dans celle de sa mère, elle ignorait que c'était la dernière fois qu'elle voyait ces briques rouges. onze. Deux déménagements plus tard "cette maison, c'est la bonne". De la fenêtre de sa chambre, elle regarde la bourgade pour laquelle elles ont abandonné Brooklyn. Un petit garçon, deux maisons plus loin, à sa lucarne. Il lui sourit. douze. Penelope devient Poppy. C'est Theo qui est à l'origine du surnom. C'était trop long. treize. Middle school. Elle décide que le servage, c'est fini, et passe à la démocratie. Theo sera co-empereur. quatorze. Des dessins partout, tout le temps. Le sourire d'un petit garçon qui l'a appelée Poppy. Maman avec une couronne. Des briques rouges. quinze. Le premier petit ami. C'est lâche, les garçons. C'est faible. Hein papa ? seize. Première nuit de la seizième année, celle des souvenirs. Première fois, première cuite, première clope. Un goût de trop, de pas assez. dix-sept. Danse dans la rue à 4h du matin avec ceux qui comptent – ses meilleurs amis, son tout, les personnages de ses dessins qui ont pris vie. Ils se jurent de ne jamais se laisser tomber, et ils ne s'imaginent pas d'à quel point ils vont la suivre, cette promesse. dix-huit. Début d'un cursus d'art, dans une école proche. dix-neuf. Theo fait un accident de voiture. Elle passe la pire nuit de sa vie, sur le banc du couloir de l'hôpital. vingt. En plus de ses études, elle travaille en tant que barista. Elle prend goût à faire la fermeture, seule, au travail bien fait, au café. Aux inconnus. Elle les dessine. vingt-et-un. Elle vend son premier dessin, par hasard. Puis un deuxième, qui deviendra la couverture du CD d'un groupe un peu connu du coin. vingt-deux. Ils emménagent ensemble, la bande. Le squad. "Ces quatre là". La liberté, le bonheur, le – merde, y a plus de pain. vingt-trois. Petit à petit, elle apprend à vivre de son art, ne pas en demander trop à la vie. Faire de son bonheur une source de revenu. vingt-quatre. Après en avoir parlé pendant une décennie, Theo et Poppy le font enfin : ils partent en voyage. Tout se complique, tout se découd. Comme si ce n'était pas suffisant, en rentrant, Poppy a du courrier. Un chèque de son père, qu'elle n'a plus vu depuis quatorze ans.  

La belle Vanessa
bienvenue

Vanessa et puis le choix de pseudonyme quoi.
Bienvenue parmi nous.

Le perso s'annonce top, je viendrais surement te voir pour un lien.
Bienvenue ici.

moi je veux qu'elle admire ma force mes coutures sous mon torse
Bienvenue, ce personnage promet

Vanessa
bienvenue avec ce perso de dingue.

Le perso.
je valide