[f/m] bande/coloc (+ love interest) (2/2)

▪ ♀ ; la working girl (libre) ▪
Prénom(s) Nom: Nina (pour les besoins du lien prédéfini - complètement modifiable)
Age: vingt-quatre ans
Lieu de naissance: au choix
Statut: au choix
Profession/études: au choix, je l'aurais bien vue dans un boulot stable, ou toujours dans des études assez poussées, enfin, une fille brillante, avec de l'ambition.
Avatar(s) : tant que ça colle côté âge, aucune limite ! (idées en vrac : aly michalka, zoe kravitz, emma watson, aja naomi king…)

Si Poppy, c'est la fibre artistique, Nina c'est la cartésienne, la raisonnée. C'est celle qui rappelle aux autres de faire les courses, de payer le loyer. Sans elle, tout s'effondre. Elle a l'air innocente, comme ça, leur rédemption à tous, mais au lycée, c'était elle qui imitait les signatures des parents sur les billets de sortie. Elle emmène tout le monde dans son sillage, ne laisse personne se morfondre, ne laisse personne abandonner. Esprit vif, assez stricte avec les autres et avec elle-même, il arrive aux filles de se disputer car Nina considère que Poppy devrait se trouver un vrai job. Malgré ça, le lien qui les lie est profond, cosmique, complètement incompréhensible aux garçons. Elles se comprennent sans les mots, ont leur soirées filles durant lesquelles les deux autres sont priés de débarrasser le plancher, sont de vraies vengeresses quand on touche à l'autre. ce qu'elles critiquent l'une chez l'autre, elles ne supportent pas que quelqu'un d'autre le dénonce.

▪ ♂ ; le playboy (libre) ▪
Prénom(s) Nom: Theo (utilisé dans ma fiche, mais c'est complètement modifiable, je ne suis pas si feignasse qu'un ctrl+f ne puisse régler ça)
Age: vingt-quatre ans
Lieu de naissance: buffalo
Statut: célibataire ascendant coureur de jupons
Profession/études: au choix.
Avatar(s) : tant que ça colle côté âge, au choix. (suggestions en vrac : jack falahee, bob morley, alfie enoch, avan jogia, austin butler…)

Ils se connaissent depuis qu'ils ont onze ans, lorsque Poppy a emménagé à deux maisons de chez lui, et que leurs fenêtres se faisaient face. Amis depuis le premier jour, c'est d'ailleurs Theo qui a commencé à la surnommer Poppy, ce qui a fini par devenir universel. Ils furent rejoints plus tard par deux autres membres dans ce qui devint leur petite bande. En grandissant, Theo est devenu un coureur, flirant même avec elle, sa meilleure amie, ce qui avait le don de la rendre folle, car elle, elle les hait, les don juan, à coups de slogans "les hommes tous les mêmes", qui faisaient soupirer Theo. Un beau jour, affalé sur le canapé chez Theo à regarder "vacances romaines", Poppy lui dit qu'elle avait envie d'aller à Rome. Ils ont fini par le faire, des années plus tard (il y a un peu plus d'un mois), les inséparables ont pris un vol pour la cité éternelle. Il faisait des photos, elle dessinait, ils visitaient, dansaient, buvaient… Et ce qui dût arriver arriva, Theo lui dit "je t'aime". Elle l'embrassa. Ils tombèrent dans le lit de Poppy, et ils vécurent une idylle brûlante… qui ne dura même pas douze heures. Une fois que le soleil se fut levé, ce lien qui avait semblé si parfait à Poppy la veille, maintenant paraissait absurde. Après tout, il était son meilleur ami, et elle l'avait déjà vu jouer avec suffisament de filles pour ne pas tomber elle aussi dans le piège. Elle ne voulait surtout pas finir pathétiquement triste comme sa mère. Ses instincts de phobique de l'amour se réveillèrent et elle préféra lui dire clairement qu'elle regrettait ce qui s'était passé la veille. Elle savait qu'elle l'avait blessé mais tant pis, si c'était ce qu'il fallait pour qu'elle ne souffre pas, elle, alors c'était le principal. Il s'en remettrait bien, puisque, pour elle, son "je t'aime" dans la veille n'était rien de plus qu'une déclaration solennelle de leur amitié vieille comme le monde. Depuis, ils sont revenus à Buffalo, font semblant de rien, essaient de passer un minimum de temps en tête à tête, ce qui est plus que compliqué quand on vit ensemble. Poppy ne peut simplement pas penser à cette nuit sans avoir le rouge qui monte au joue, mi-gêne, mi-colère, avec un soupçon de jalousie. Chacun de leur côté, ils serrent les poings, attendant avec angoisse le moment où l'autre va tomber amoureux de quelqu'un d'autre.